
Autres articles
S’agissant d’une espèce protégée en Europe, et sans prédateur, seule la stérilisation des œufs permet d’éviter sa prolifération dans les villes. Son nom scientifique : le goéland leucophée. Chaque année, les agents du service PCHS grimpent les toits d’environ 200 immeubles et bâtiments publics, traitent 200 à 250 nids, le plus souvent composés de trois œufs chacun. En 10 ans, 6 300 ont été stérilisés !
Après 10 ans de campagne, les résultats deviennent visibles : moins de nids, moins d’œufs et bien sûr moins de gabians ! Dans les années 2011-2014, la Ville stérilisait chaque année environ 750 œufs à partir de 300 nids trouvés sur 100 à 130 toits. En 2018, seuls 535 œufs ont été traités sur 211 nids alors que le nombre de toits contrôlés est passé à 177.
Par le passé, rien que sur l’Ile de Thau, la Ville trouvait, durant les premières campagnes, 80 à 90 nids et stérilisait un peu plus de 200 œufs chaque année. En 2018, on passe à 101 œufs stérilisés et 41 nids trouvés. C’est donc 50 % de réduction des nids, et 50 % de réduction des nuisances, après 10 ans d’effort.
Comme pour fêter ces 10 ans, la Ville a récemment accueilli une étudiante qui prépare un doctorat pour comparer les actions de stérilisation menées à Sète et à Lorient. Les conclusions de son étude seront connues l’an prochain.
Après 10 ans de campagne, les résultats deviennent visibles : moins de nids, moins d’œufs et bien sûr moins de gabians ! Dans les années 2011-2014, la Ville stérilisait chaque année environ 750 œufs à partir de 300 nids trouvés sur 100 à 130 toits. En 2018, seuls 535 œufs ont été traités sur 211 nids alors que le nombre de toits contrôlés est passé à 177.
Par le passé, rien que sur l’Ile de Thau, la Ville trouvait, durant les premières campagnes, 80 à 90 nids et stérilisait un peu plus de 200 œufs chaque année. En 2018, on passe à 101 œufs stérilisés et 41 nids trouvés. C’est donc 50 % de réduction des nids, et 50 % de réduction des nuisances, après 10 ans d’effort.
Comme pour fêter ces 10 ans, la Ville a récemment accueilli une étudiante qui prépare un doctorat pour comparer les actions de stérilisation menées à Sète et à Lorient. Les conclusions de son étude seront connues l’an prochain.